Au plus adroit
Avez-vous du feu ? (place de la Concorde)
Bons amis
Cache-cache
Chaque âge a ses plaisirs
Chatons et polissons
Ecoliers au cirque
Enfants de chœur dans la sacristie
Enfants de chœur jouant aux billes
Jeux au bassin du Jardin des Tuileries
Je te l'avais dit !
Jeune ramoneur et marmiton fumant des cigarettes
Jouer au croquet
La catastrophe
La fête au pain d'épices sur les grands boulevards à Paris
La fricassée
La guinguette en amont de Giverny
La main chaude - 1
La main chaude - 2
La manœuvre de distraction
La partie de tonneau ou le jeu de la grenouille
La répétition générale
v
La surprise inattendue
La vendange des enfants de chœur
Le petit commis
Le garçon boulanger
Le gourmand
Le jeune cuisinier
Le nouvel ami
Le pâtissier et le ramoneur
place Victor Hugo, Paris
La statue de Vicor Hugo (1902) a été fondue pendant l'occupation allemande 39-45
Le petit boulanger et le ramoneur
Le petit cuisinier d'écrevisses
Le Petit Journal
Le ramoneur et le petit cuisinier
Le vendeur de sculptures
Le voleur rusé
L'opportunité fait le larron
Marrons chauds
Mauvaise rencontre
Partage d'un livre
Qui était-ce ?
Ramoneur
Ramoneur et mitron place de la Madeleine
Se moquer du singe
Se moquer du singe (animé)
Serveurs d'autel espiègles
Taquiner le perroquet - 1
Taquiner le perroquet - 2
Taquiner le singe
Une libation spirituelle
Une rencontre marquante
Une vieille farce -1
Une vieille farce -12
Un jeu de billes
Un nouvel ami
image d'Epinal Les petits métiers de Paris
carré Hermès Les Petits Métiers de Paris
Paul Chocarne-Moreau (France)
Paul Chocarne-Moreau, né Paul Charles Chocarne à Dijon le 31 octobre 1855 et mort à Neuilly-sur-Seine le 5 mai 1930, est un peintre français.
Paul Chocarne est né à Dijon le 31 octobre 1855 dans une famille d'artistes. Son père est professeur de peinture et il est neveu du père Bernard Chocarne et de l'abbé Victor Chocarne, ainsi que le cousin des sculpteurs Mathurin, Hippolyte et Auguste Moreau.
Paul Chocarne entre à l'École des beaux-arts de Paris, où il est successivement l'élève de Tony Robert-Fleury et de William Bouguereau. Il débute au Salon des artistes français de 1882 et y expose assez régulièrement à partir de cette date sous le nom de Paul Chocarne-Moreau. En 1900 il y obtient une médaille de 2e classe et passe en hors-concours. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1906.
Chocarne-Moreau se spécialise dans la peinture de genre. Il représente des saynètes de la vie parisienne dont les héros sont généralement de jeunes garçons facétieux issus de milieux populaires : jeunes apprentis-pâtissiers, ramoneurs, enfants de chœur, écoliers. Témoin de son temps, il peint des œuvres comme Sur la barricade qu'il expose au Salon de 1909. On a pu voir en lui un précurseur de Norman Rockwell.
Il meurt à Neuilly-sur-Seine le 5 mai 1930 et est inhumé au cimetière de Levallois-Perret.
Petits métiers
Petits métiers
Chanson de Juliette
Ils arpentaient les rues et campaient sur les places
Chargés d´objets obscurs, de graines ou bien de vent
Proposant tout ou rien et de bien peu vivant
Leurs grands cris appâtant la vaine populace
Ils arpentaient les rues et campaient sur les places
Oh, combien je regrette leurs voix et leurs musiques
Leurs mains escamotant les piécettes d´argent
Pour service rendu à quelque bonne gens
Et leur air de se foutre de la chose publique
Oh, combien je regrette leurs voix et leurs musiques
Que sont donc devenus
La remmailleuse de bas
Le crieur de journaux
Et la loueuse de chaises
Où donc se sont perdus
La cardeuse de matelas
L´aiguiseur de couteaux
Et le sucreur de fraises
Qui donc les a revus
Le vendeur de mouron
La porteuse de pain
Et le montreur de vues
Ils ont bien disparu
Le grilleur de marrons
L´écorcheur de lapins
Et le chanteur des rues
On n´achetait pas que terrestres nourritures
Autrefois dans nos rues, on y trouvait aussi
Des colporteurs d´histoires et des marchands d´oublies
Et il y avait du rêve plein les petites voitures
On n´achetait pas que terrestres nourritures
Que sont donc devenus
La faiseuse d´embarras
L´accordeur de violons
Et la teneuse de jambe
Où donc se sont perdus
La liseuse de draps
L´ensommeilleur de plomb
Et le violeur de gambe
Qui donc les a revus
L´écriveur de tartines
L´avorteuse de choux
Et le fouteur de guignon
Ils ont bien disparu
Le lécheur de vitrines
La bourreuse de mou
Et l´encaisseur de gnons
Certains étaient tenus à l´écart de la foule
Exerçant un négoce un peu plus inquiétant
Facteurs de basses œuvres et vendeurs d´orviétans
Artisans du frisson, experts en chair-de-poule
Certains étaient tenus à l´écart de la foule
Que sont donc devenus
La toucheuse de bœufs
L´enjoliveur d´obus
Et le pinceur de louches
Où donc se sont perdus
Le dénoueur de nœuds
La torcheuse de culs
Et l´enculeur de mouches
Qui donc les a revus
Le dépendeur d´andouilles
La mangeuse de santé
Et l´étouffeur de vents
Ils ont bien disparu
La gonfleuse de couilles
Le démorveur de nez
Et l´étrilleuse de glands
La tripoteuse d´acné
Le faiseur d´mauvais sang
La fileuse de diarrhée
Aaaaaaaaah !
Et l´équarrisseur d´enfants
La Complainte des petits métiers
La Complainte des petits métiers
Chanson de Marie-Paule Belle
La Complainte des petits métiers
Chanson de Marie-Paule Belle
Les bougnats, les bourreaux
Les r'passeurs de couteaux
Les soubrettes, les cousettes
Les r'mailleuses de chaussettes
Les porteurs, ramoneurs
Les garçons d'ascenseur
Les modestes, les modistes
Et bientôt les pompistes
J'me demande où sont ces petits métiers
J'me promène dans les ruelles du passé
Cherchant leur chanson mais a-t-elle existé ?
Dans les faubourgs et dans les rues
Il n'y a plus d'hirondelles
Même les rengaines ont disparu
En avez-vous des nouvelles ?
On les a peut-être rêvées
On y a mis des dentelles
Le bonheur a déménagé
En avez-vous des nouvelles ?
Les barbiers, les bottiers
Les barons dépravés
Les héros, les gauchos
Les cocus de Feydeau
Les colbacks, les cornacs
Les gantières d'Offenbach
Les shérifs, les chétifs
Gangsters du château d'If
L'art de vivre est-il un petit métier ?
Une adresse dans les ruelles du passé
Une simple chanson mais a-t-elle existé ?
Dans les faubourgs et dans les rues
Il n'y a plus d'hirondelles
Même les rengaines ont disparu
En avez-vous des nouvelles ?
On les a peut-être rêvées
On y a mis des dentelles
Le bonheur a déménagé
En avez-vous des nouvelles ?
Il changeait la vie
Il changeait la vie
Chanson de Jean-Jacques Goldman
C'était un cordonnier, sans rien d'particulier
Dans un village dont le nom m'a échappé
Il faisait des souliers si jolis, si légers
Que nos vies semblaient un peu moins lourdes à porter
Il y mettait du temps, du talent et du cœur
Ainsi passait sa vie au milieu de nos heures
Et loin des beaux discours, des grandes théories
A sa tâche chaque jour, on pouvait dire de lui
Il changeait la vie
C'était un professeur, un simple professeur
Qui pensait que savoir était un grand trésor
Que tous les moins que rien n'avaient pour s'en sortir
Que l'école et le droit qu'a chacun de s'instruire
Il y mettait du temps, du talent et du cœur
Ainsi passait sa vie au milieu de nos heures
Et loin des beaux discours, des grandes théories
A sa tâche chaque jour, on pouvait dire de lui
Il changeait la vie
C'était un p'tit bonhomme, rien qu'un tout p'tit bonhomme
Malhabile et rêveur, un peu loupé en somme
Se croyait inutile, banni des autres hommes
Il pleurait sur son saxophone
Il y mit tant de temps, de larmes et de douleur
Les rêves de sa vie, les prisons de son cœur
Et loin des beaux discours, des grandes théories
Inspiré jour après jour de son souffle et de ses cris
Il changeait la vie
Oh, il changeait la vie
Il changeait la vie
Oh, il changeait la vie
Il changeait la vie
Musique : Il changeait la vie (Piano version) - 3 Mo - 3 mn 26 :
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