Première neige au jardin du Luxembourg Paris 1956
Avenue de Clichy Paris 1950
Avenue de Saint-Ouen 1948
Bar à Paris 1950
Boulevard Saint-Germain 1948
Champ de Tournesols Ile-de-France 1987
Enfants avec landaus Cheylade Cantal 1958
Enfants de dos Montmartre Paris 1948
Enfants de Montmartre 1949
Enfants jouant sur un toit à Ménilmontant 1952
Famille à la plage 1950
Florence sous la neige 1962
Ile de Bréhat La fenêtre 1954
Jeux d'enfants 1952
La fenêtre et le chat 1957
La fille dans la fenêtre 1955
La partition Paris 1982
La petite fille au manteau de feuilles Jardin du Luxembourg Paris 1946
La serveuse Paris 1952
Le dresseur 1950
Le pont des arts Le couple et le ramoneur Paris 1956
Les petites filles de la place Maubert Paris 1962
Le vendeur de châtaignes Paris 1956
Mes chers enfants Paris 1923
Montmartre 1951
Parc de Sceaux Cerisiers japonais 1983
Paris Hiver 1948
La petite fille du pont des Arts 1954
Rémi écoutant la mer 1995
Florence rêve de bateau Paris 1955
Rue Vilin Belleville 1955
Salers 1954
Un bougnat rue Mouffetard Paris au temps du charbon 1957
Edouard Boubat (1923 - 1909)
Édouard Boubat , né le 13 septembre 1923 dans le quartier de Montmartre à Paris et mort le 30 juin 1999 à Montrouge dans les Hauts-de-Seine, était un photographe français et un chroniqueur photo-reporter de l'après-guerre qui fut, avec Willy Ronis et Robert Doisneau, l'un des principaux représentants de la photographie humaniste française.
Édouard Boubat étudie à l'École Estienne, à l'atelier de photogravure, de 1938 à 1942.
Il est initié à la photographie, en 1946 après la guerre, et obtient en 1947 le prix Kodak. Puis il débute comme reporter pour le mensuel Réalités.
En 1971, il obtient la médaille David Octavius Hill.
En 1984, il obtient le Grand Prix national de la photographie à Paris et en 1988, le Prix de la Fondation Hasselblad.
Boubat encouragea la création de la première galerie photographique à Paris (Galerie Agathe Gaillard) et fut représenté par elle.
Photoreporter juste après la Seconde Guerre mondiale, il est marqué par les atrocités et décide de consacrer son œuvre à la célébration de la vie.
Ce métier lui donne assez de liberté et il multiplie les voyages. Il a fait également des portraits devenus célèbres de nombreuses personnalités comme : Jacques Prévert qui dira de lui « Boubat, un correspondant de paix », Gaston Bachelard, Emil Cioran, Robert Doisneau, Jean Genet, Marguerite Yourcenar et beaucoup d'autres.
Il s’intéresse particulièrement à montrer les moments vides de la vie et en exalter tout le bonheur. Il présente « un quotidien dépouillé mais plein de grâce, de poésie et d'une plénitude intemporelle. »
Musique : Un gamin de Paris - instrumental - 2,24 Mo - 2 mn 42 :
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