A comforting moment
Un moment réconfortant
A comforting moment
Un moment de réconfort
A comforting word
Un mot réconfortant
A moment of tenderness
Un moment de tendresse
Bounty of the season
Prime de la saison
Cherries ripe
Des cerises mûres
Children playing
Enfants jouant
Christ and the children
Le Christ et les enfants
Christmas morning
Le matin de Noël
Decorating the tree
Décorer le sapin
Drying off by the fire
Séchage près du feu
Fed cherries
Nourri de cerises
Feeding the bird some berries
Nourrir l'oiseau evec des baies
Getting dressed
S'habiller
Going to school
Aller à l'école
Helping hands
Donner un coup de main
Helping little sister
Aider sa petite sœur
Helping mother
Aider sa mère
Here we go round the mulberry bush
Ici on fait le tour du mûrier
La comptine concernait des prisonnières victoriennes faisant de l'exercice dans la cour de Wakefield (Angleterre).
Un mûrier poussait dans la cour et les détenues dansaient autour de l'arbre avec leurs enfants et chantaient la chanson;
(ronde en se donnant la main)
La peinture montre plutôt la ronde "Oranges et citrons".
Learning to count
Apprendre à compter
Little helpers
Peites aides
Mother and child in a cottage interior
Mère et enfant dans un intérieur de chalet
Mother and child in an interior
Mère et enfant dans un intérieur
Motherly reprimand
Réprimande maternelle
Mother's little helper
Une petite aide pour la mère
New friends
Nouveaux amis
New shoes
Nouvelles chaussures
No cherries for you
Pas de cerises pour toi !
Picking cherries
La cueillette des cerises
Playing bootblack
Jouer au cireur
Preparing dessert
Préparation du dessert
Preparing the bread
Préparer le pain
Preparing the food
Préparer la nourriture
Roasting chestnuts
Faire griller des châtaignes
School game
Jouer à l'école
Share and share alike
Partager à l'identique
Sorting cherries dividing the spoils
Tri des cerises et partage du butin
The bird
L'oiseau
The broken dish
Le plat cassé
The cider mill
La cidrerie
The conscrit's return
Le retour du conscrit
The drunkard A drop too much
L'ivrogne Un verre de trop
The favourite pet
L'animal préféré
The first argument
Le premier argument
The lessons
Les leçons
The lost tooth
La dent perdue
The new decor
Le nouveau décor
The pea pickers
Les cueilleurs de pois
The print seller
Le vendeurs d'images
The reading lesson
La leçon de lecture
The sick child
L'enfant malade
The spring garland
La guirlande de printemps
The wedding procession
Le cortège de mariage
The wounded finger
Le doigt blessé
The young cook
Le jeune cuisinier
The young nursemaid
La jeune bonne d'enfants
Woman and child before a mirror
Femme et enfant devant un miroir
Young amateurs
Jeunes amateurs
Young dancers
Jeunes danseurs
Young girl feeding a toddler
Jeune fille nourrissant un enfant
Skip school
Sécher l'école - Faire l'école buissonnière
Paul Seignac (1826 - 1904) - Français
Bordeaux, 12 Février 1826 - 1904, Paris
Comme Duverger et Dargelas, Paul Seignac naquit à Bordeaux. A Paris, il devient l'élève de Edouard Picot (1786-1868), un peintre d'histoire qui réalise un certain nombre de commandes pour des églises parisiennes. Après avoir envisagé différentes voies, il se spécialise dans la peinture de genre, attiré en particulier par la description de scènes rurales et de tableaux d'enfants. En 1849, il expose au Salon de Paris trois portraits, il obtient une mention honorable en 1889 et il continue jusqu'en 1897.
Après avoir habité quelque temps le village de Sarcelles, il arrive à Ecouen où il rejoint la colonie des peintres. Il s'installe alors dans une vaste maison entourée d'un joli jardin, aujourd'hui encore dotée de sa verrière d'atelier et qui porte sur sa façade la devise "Labor" ; ce qui ne pouvait mieux convenir à l'infatigable travailleur qu'est Paul Seignac.
Lorsqu'il rejoint la colonie des peintres réunis autour de Pierre Edouard Frère, celle-ci est déjà nombreuse. Ce groupe d'artistes semble avoir été particulièrement lié par l'amitié. Quelques enfants se marient entre-eux. Deux ou trois fois par semaine, chacun a sa soirée de réception où viennent amis et connaissances, bavarder pour se distraire autour de verres de vin et de quelques gâteaux.
De nombreuses œuvres de Seignac montrent des enfants dans des rôles attachants, quoique improbables, tels que La leçon d'histoire, Une aide volontaire, Dur au travail, atteignant une qualité presque didactique. Dans d'autres, les enfants peuvent être réprimandés pour un léger délit, mais tous sont calculés pour faire appel aux sentiments maternels et paternels.
Seignac a également peint la vie rurale --- des scènes d'extérieur se déroulant dans des villages de campagne, représentant de charmantes scènes de la vie quotidienne. Ces œuvres, tout pittoresques qu'elles soient, montrent le germe du réalisme social propagé par Jules Bastien Lepage et Jean François Millet dont les œuvres ont connu une énorme popularité dans la seconde moitié du siècle.
A cette époque, ce choix de peindre la vie réelle des gens ordinaires aspire aussi à offrir une peinture accessible à tous, ce qui, pour les artistes, équivaut à donner une signification sociale à leur art. Seignac connaît très tôt le succès. Des articles élogieux construisent peu à peu sa notoriété, y compris à l'étranger puisqu'en 1885, le New York Times vantait son talent.
Comment Paul Seignac passe-t-il les dernières années de sa vie ? Dans les archives, un certificat du 5 septembre 1892 atteste que le soldat de la classe 1890, n° 58 (il s'agit de Guillaume, le peintre de 22 ans), est l'unique et indispensable soutien de la famille qui et composée de son père, Paul Seignac, 66 ans, marié et paralysé, Augustine Salemke, 54 ans, et une soeur, Marie Adeline 29 ans. En 1894, il vend sa demeure d'Écouen au peintre William Bouguereau, professeur de son fils.
Paul Seignac fut et est encore aujourd'hui un des artistes les plus appréciés de l'Ecole d'Ecouen.
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