Le fond de cete
page, ce sont les hibiscus, une des merveilleuses
fleurs qui parsèment l'île de la Réunion qu'on peut
vraiment surnommer L'ILE VERTE !... et vous entendez un air de "moringue" de La Réunion !
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Notre
Carnet de Voyage
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Cirque de Salazie Dans le jardin de la maison Folio à Hell-Bourg (cirque de Salazie) : la région est une des plus pluvieuses ! |
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Salazie, Grand Ilet, Le Bélier, piste du col des Boeufs en voiture
A pied nous descendons vers La Nouvelle depuis le parking payant du col des Boeufs.
Nous découvrons en-dessous de nous le petit village de La Nouvelle.
Situé dans le cirque de Mafate, on ne peut y arriver qu'en hélicoptère... ou à pied ! |
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Fougère arborescente au bord du sentier |
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Plaine des Tamarins. Les tamarins poussent en tous sens, les cyclones les ont inclinés ! Ils servent aussi à faire des traverses car la région est très humide. |
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Salazie Pour atteindre l'îlet des Fleurs Jaunes, il faut d'abord descendre et emprunter cette passerelle impressionnante ! |
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Salazie Sur le sentier de la Voile de la Mariée, à l'îlet des Bananiers... un régime de bananes et sa fleur |
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La Plaine des Palmistes Nous roulons sur la route forestière de Bébour-Bélouve.
Nous empruntons à pied le sentier de l'Ecole Normale.
Nous traversons la jungle de la forêt primaire pendant des heures : sol glissant !
Nous voilà avertis pour la suite du sentier vers le Trou de Fer ! |
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Fernande a grimpé sur la Reine des Tamarins, plus de 300 ans... l'arbre ! |
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De Bourg-Murat (la Plaine des Cafres), nous empruntons en voiture la Route du Volcan et comptons gravir le Piton de la Fournaise.
Nous descendons à pied dans la pluie et le brouillard...
Au pied du Rempart de Bellecombe une erreur d'itinéraire nous fait aller vers l'ouest vers le cratère Magne !
Quelle galère ! |
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Le lendemain matin, il fait beau.
Du haut du Rempart de Bellecombe nous avons cette fois-ci une belle vue sur ce qui nous attend : le petit volcan Formica Leo et le Piton de la Fournaise. |
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Dans la caldeira : magnifique spirale de lave |
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René gravit le Piton de la Fournaise |
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Du sommet (cratère Bory, 2631 m) nous descendons vers le cratère Dolomieu : cairn, fumerolles.
Nous commençons le long Tour du Volcan ! |
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Fernande assise devant le gigantesque cratère Dolomieu : ne pas y pénétrer, le Volcan est vivant ! |
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Nous empruntons la route aux 420 virages qui conduit à Cilaos : éboulis sur la route, passages étroits, tunnels à sens unique, boucle... impressionnant !
Cirque de Cilaos Cilaos : la Mare à Joncs |
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Cilaos
Vue sur la ville depuis le sentier de la Roche Merveilleuse
Au premier plan dans le ciel une "bibe", énorme araignée inoffensive !
Au loin, la montagne du Bonnet de Prêtre dont nous ferons le tour. |
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Cilaos : véranda de l'hôtel Les Aloès. Journée de brouillard ! |
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Cilaos
Nous empruntons le sentier de La Chapelle et le sentier d'Ilet à Cordes.
Le but : le village d'Ilet à Cordes en face après avoir traversé toute un végétation luxuriante et... les gorges de Bras Rouge ! |
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Fernande traverse le Bras Rouge chaussures au pied. Les concurrents de Réuniondaventures feront pareil ! |
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Gorges de Bras Rouge vues de l'Ilet à Cordes
Nous avons grimpé 450 m. |
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Patchwork de champs de lentilles à l'Ilet à Cordes
Ce village ne s'atteignait il n'y a pas longtemps que par notre sentier équipé alors de cordes d'où son nom !
Nous reviendrons à Cilaos avec l'autocar : route étroite longeant des précipices pendant 12 km : peur garantie ! |
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Le belvédère du piton Maïdo à 2205 m.
Quand le nuage s'évanouit, magnifique vue sur le Cirque de Mafate. |
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Fernande au pittoresque marché de St-Paul, fruits, légumes, nappes malgaches... |
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Palmeraie de l'Etang de St-Paul
Fernande a ramassé une noix de coco ! |
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Fernande sur la plage de l'Hermitage-les-Bains
On y trouve des coraux provenant du lagon.
Dans les filaos, volent des cardinaux rouges et des tisserins jaunes !
Nous regrettons de ne pas pouvoir rester plus longtemps à la Réunion tellement il y a de lieux à découvrir ! |
Hell-Bourg, le “Plus beau
village de France”
Les thermes réunionnaises ont fait naître en des
endroits reculés, quelques “perles” de notre île.
On “buvait l’eau de Salazie et l’on se baignait à
Cilaos”. Tel était le parcours des curistes, à la fin du
XIXème siècle.
A l’aube du troisième millénaire, Hell-Bourg a conservé l’architecture
coloniale qui l’a fait naître et porte aujourd’hui le
titre de l’un des plus beaux villages de France…
Les premières personnes à fouler les terres de ce
village du cirque de Salazie furent les marrons, qui devaient,
chaque jour, reculer les limites de leurs caches pour ne pas être
repris. Vinrent plus tard, dès la découverte des sources en
1832, les premiers “curistes” en quête de soins et ce,
bien avant qu’un hôtel ou une structure d’hébergement
ne soient construits. Les visiteurs, épuisés par la route, se
logeaient dans de minuscules cases en paille ou en bois, les
laissant face à eux-mêmes au beau milieu de la majesté du
cirque.
Avant le 13 juillet 1852, les seuls équipements
existants pour les bains, au bord d’un gros rocher couvert
de rouille où coulait la source, étaient un long appentis au
toit de vétyver. On construisit alors des salles-de-bains, la
grande maison du directeur et un casino. Rapidement, les riches
propriétaires de l’île firent de l’endroit leur aire
de jeu et de repos de prédilection. Malheureusement, et malgré
le nombre de personnes faisant appel aux vertus des eaux, la Société
réalisa de mauvaises affaires et dut passer le flambeau à une
autre qui à son tour fit faillite, entraînant vers la ruine les
bâtiments…
Une telle manne ne pouvait disparaître et la commune
racheta la source, restaura l’ensemble des thermes et l’offrit
ensuite à la colonie, à la condition d’y placer un médecin
civil. Le premier d’entre-eux fut Jacob De Cordemoy, ouvrant
la porte à une longue période de prospérité. L’ancien hôpital
où étaient hébergés et soignés les soldats de Madagascar fut
transformé en hôtel : le célèbre Hôtel des Salazes qui
durant des années incarna le centre culturel du cirque. Les années
passant et la mode des cures thermales s’amenuisant, les
sources furent délaissées du public qui les avaient pourtant
tellement aimé. Un cyclone consolida l’oubli en emportant
une partie de la route et obligeant les derniers visiteurs à
emprunter une étroite et dangereuse passerelle. Cilaos devint
alors “l’établissement” thermal de l’île.
Ce petit village de la commune de Salazie fut baptisé
Hell-Bourg, le 24 mars 1842, en l’honneur du gouverneur De
Hell. Si les thermes ont aujourd’hui disparu, si la source
ne coule plus comme autrefois, si la vie mondaine du XIXème et
du début du XXème siècle résonne encore, grâce aux bâtisses
coloniales rénovées, Hell-Bourg affiche, en cette fin de millénaire,
d’autres prétentions. Élu l’un des plus beaux
villages de France, il incarne sans doute ce que La Réunion possède
de plus typique et de plus beau. Perché à 950 mètres d’altitude,
il est l’un des nombreux “cœurs” battants du
fantastique cirque de Salazie.
Mafate
La Réunion compte au dernier
recensement de 1999, plus de 700 000 habitants répartis sur ce
morceau de lave perdu dans l'Océan Indien. Sa population est
donc très importante, et atteindra à l'horizon 2010-2015, le
million d'âmes. Pourtant, alors que la surface habitable ou
agricole pourrait commencer à manquer, il existe de nombreux
endroits dans l'île où la densité démographique est si faible
qu'elle se perd dans la majesté des grands espaces. Mafate est
l'un d'eux, immense cirque aujourd'hui encore, uniquement
accessible à pied, traversé de chemins et de sentiers, vierge
de routes goudronnées.
Peuplée à l'origine par des esclaves en fuite qui trouvèrent
enfin une région où leurs jours ne furent plus menacés,
rejoints plus tard par les colons, la zone est parsemée de
petits villages situés sur des îlets, aux cases souvent accrochées
aux remparts, masquées par des bananiers, cerclées de petits
enclos, faits de chocas, pour les animaux. Il existe pour y accéder,
plusieurs itinéraires. L'un des plus pratiqués par les
randonneurs est sans doute celui du Maïdo, par la route de
captage des Orangers au Bois de Nèfles à Saint-Paul ou bien
encore par l'îlet des Lataniers et la Rivière des Galets. Un
fantastique périple offrant un point de vue incomparable sur
l'ensemble du cirque.
Mafate, l’une des merveilles réunionnaises,
est le seul endroit de l’île où l’on ne peut toujours
pas accéder par une route carrossable. Situé au centre de l‘île
et bordé d’immenses remparts, le cirque semble jouir de l’isolement
du reste de l’île. Son nom trouverait ses origines des
sources de soufre qui dégagent une odeur très forte et nauséabonde.
En malgache, il signifie «qui sent mauvais». Pourtant, à bien
regarder le paysage fantastique, les sommets grandioses, à
respirer l’air frais, à écouter chanter les oiseaux, l’endroit
n’a rien d’inhospitalier ou de repoussant. Véritable
paradis, le cirque est le «solitaire» surmontant l’anneau
réunionnais.
Ses premiers habitants furent les noirs marrons, acculés à la
retraite par l’avancée des colons au XVIIème siècle. De
Salazie, où ils trouvèrent un temps la paix et la si précieuse
liberté, ils franchirent les parois, descendirent et s’enfoncèrent
là où nul n’avait encore posé le pied.
Une légende raconte que les descendants de marrons jamais repris
habitaient encore ce second cirque après la révolution et même
l’abolition de l’esclavage en 1848. Les quelques
sentiers, comme la Rivière des Galets, Grand îlet et le Col des
boeufs, où il faut marcher pendant plusieurs heures avant de
pouvoir atteindre le coeur mafatais ont longtemps découragé l’implantation
des colons...
L'îlet des Orangers tire son nom, pour la version la
plus simple, de l'arbre fruitier que l'on trouve en abondance sur
le plateau depuis toujours. Une seconde théorie parle d'un noir
orange, qui le premier aurait occupé les lieux.
En attendant, de tous les quartiers, celui des Orangers a
longtemps été le plus pauvre, celui où les conditions de vie
étaient sans doute les plus difficiles en raison du manque d'eau.
En effet, les quelques habitations éparpillées au gré des
nombreuses et profondes ravines se situaient à une heure de
marche de la source la plus proche. L'eau était donc un bien précieux
qu'il fallait économiser, conserver comme le plus fabuleux des
trésors.
À l'époque de la colonisation, certaines familles obtinrent des
concessions, d'autres non, mais s'installèrent tout de même,
hors la loi, pensant être protégés des représailles par les
remparts et l'isolement. En 1874, le Service Forestier voulut
chasser les habitants du cirque afin de procéder à son
reboisement. Nul n'avait le droit alors de brûler une branche, même
morte, sous peine de voir son habitation détruite ou d'être
envoyé creuser le port de la Pointe des galets. Excédés, les
Mafatais parvinrent à chasser, à coup de pierres et de bâtons,
les forestiers, après bien des années de souffrances. L'îlet
de Roche Plate est quant à lui celui que l'on aperçoit du Maïdo.
Le quartier fut le premier du cirque à être dotée d'une école
et bénéficie, au contraire de l'îlet des Orangers, d'une
abondante irrigation. Goyaves, bibasses, oranges, bananes, pêches,
vignes font partie des ressources du village, en même temps que
l'élevage, ou la culture de haricots et de maïs. Pourtant, ces
cinquante dernières années, sa population a considérablement
diminué, les plus jeunes préférant le littoral à ce centre de
l'île. Le tourisme a cependant redonné vie à l'îlet et au
cirque dans son ensemble, qui faillit bien être déserté...
Cilaos
Cilaos
serait à l'origine d'un nom malgache, comme de nombreux sites à
la Réunion, Tsilaosa
qui, littéralement se traduit "qu'on ne quitte pas".
Une signification qui prend tout son sens jusqu'à ce que le
sentier menant au village ne soit remplacé par une route.
En effet, avant 1932, le voyage jusqu'au village de Cilaos
s'apparentait à une véritable expédition en chaise à porteurs
ou "chaise à bricoles".
Départ à l'aube, depuis le plateau des Aloès et arrivée à 5
ou 6 heure le soir.
Ce cirque très enclavé et extrêmement difficile d'accès a
bien évidemment été le refuge de nombreux esclaves en fuite
qui trouvaient là une terre de liberté jusqu'à ce que François
Mussard n'entreprenne de les déloger en 1744. Les marrons furent
alors acculés à la retraite, se réfugiant sur les remparts, très
haut, comme au Tap Cal, où libres, ils n'en étaient pas moins
livrés à une mort certaine…
Au XIX ème siècle, Paulin Techer,
un chasseur de cabris marrons découvre les sources et en 1819,
le gouverneur Milius
envoie le directeur du jardin colonial pour faire un relevé d'échantillons..
La valeur médicale des sources reconnue l'exploitation est immédiatement
envisagée malgré la difficulté d'accès.
En 1836 Guy Ferrières
est alors chargé de la réalisation d'un tracé pour les boeufs
et les piétons, puis dessine les plans d'un village où quelques
familles se sont installées.
En 1858, une chapelle en bois est construite et Cilaos devient
section de Saint-Louis en 1861.
En 1866, près de 1000 personnes habitent le village de Cilaos,
vivant de la culture de grains et de vigne qu'ils descendent
vendre à tête d'homme ou à dos de boeuf à Saint-Louis.
Déjà, les sources sont exploitées, très sommairement : des
cabanes en chaume abritant 6 bains creusés à même le sol, où
l'on se plonge pendant une heure pour se remettre du voyage. 30
ans plus tard, les thermes sont enfin construites.
Le Docteur Mac Aulife,
l'un des premiers médecins à être affecté fera énormément
pour le développement de la petite commune.
Sa fille initiera les femmes au difficile travail de la broderie
qui dit-on aujourd'hui, est l'une des plus fines et des plus
belles au monde…
Au début du XXéme, les eaux de Cilaos sont de plus en plus réputées
et la construction d'une route devient une urgente nécessité.
Cette tâche immense est confiée à l'ingénieur
Mallet et les premiers coups de pioche sont
donnés en 1927 au plateau des Aloès.
Sans explosifs, uniquement avec des pelles, des barres à mine,
les travaux avancent lentement et dureront huit ans. Le 5
septembre 1932, il est possible de partir de Saint-Denis à 6h30
du matin pour arriver à Cilaos dès midi. Un exploit technique
pour l'époque et un véritable défi humain qui ouvriront le
cirque à tous les réunionnais…
Très tard, en 1965, le village devient commune et à l'image de
l'action de son premier maire, Irénée Accot,
il ne cessera jamais de se développer. Le vin de vigne Isabelle
l'artisanat, les lentilles, la broderie, la gastronomie attirent
chaque année des milliers de visiteurs qui repartent de Cilaos
avec le sentiment d'avoir vu quelque chose d'exceptionnel, une
perle réunionnaise brillant par sa grandeur, sa chaleur et sa
beauté…
St-Paul
Le 30 juin 1638, le Saint-Alexis,
une flûte en provenance du port de Dieppe jeta l'ancre dans une
fantastique baie de sable noir, immédiatement baptisée Saint-Paul,
en l'honneur du Saint du jour, donnant naissance par la même
occasion à l'histoire coloniale de l'île Bourbon. En effet,
c'est ici que la Compagnie des Indes, créée en 1664, envoya
quelques années plus tard, Étienne Regnault à la tête de 20
colons, ouvrant les vannes d'un flot ininterrompu de nouveaux
arrivants pendant près d'un siècle.
Saint-Paul prit alors un essor considérable, occupant le front
de mer, grimpant sur la montagne, prospérant grâce aux cultures
du coton et du café.
Pourtant, la puissante cité en construction, vit son expansion
limitée, bloquée par deux énormes appendices naturels, le Cap
La Houssaye et l'actuel Cap Champagne, ne laissant d'autres
alternatives que l'ascension par le Plateau Caillou, en direction
de Saint-Gilles-Les-Hauts ou le Bernica... Une situation qui
demeura inchangée jusqu'à la fin du XIXe siècle, en 1863 précisément,
date à laquelle une percée put être réalisée, laissant
passer le tout jeune chemin de fer rejoignant Saint-Pierre et
faisant escale dans les localités de l'Ouest.
L'Hermitage-les-Bains
L'Hermitage-les-Bains, en front de mer de la région
Ouest de l'île fut, durant les premières décennies de la
colonisation, un endroit isolé, tout comme Saint-Gilles-les-Bains
d'ailleurs, en retrait du précaire réseau routier qui, pour
rejoindre Saint-Leu, passait alors par Saint-Gilles-les-hauts...
En effet, séparée de la paroisse Saint-Pauloise, la région
demeura jusqu'au XVIIIe siècle une zone habitée seulement par
une poignée de pêcheurs, rarement fréquentée par les autres
colons. La localité tire donc son nom de l'isolement, où
seulement un petit éleveur fit à l'origine paître ses bestiaux
sous les filaos, à quelques centaines de mètres de l'océan.
Madame Desbassyns, gigantesque propriétaire de la région posséda
par la suite ce joyau réunionnais. Un joyau qui, avec
l'ouverture de l'île de la Réunion sur le tourisme, se
transforma en station balnéaire réputée, couplée à celle de
Saint-Gilles-les-Bains. Des hôtels se construisirent en même
temps que les résidences bouleversant le visage tranquille du
bord de plage pour constituer aujourd'hui l'un des principaux
carrefours touristiques. Bien connu de tous les réunionnais,
L'Hermitage est devenu un lieu de détente exceptionnel, recelant
un immense bassin d'eaux translucides et turquoises : le lagon.
C'est également, un étroit goulet de circulation, théâtre
quotidien d'embouteillages, contrastant singulièrement avec les
origines de son nom. L'isolement n'existe plus, le secteur Saint-Paulois
est sans doute l'un des plus visités et des plus traversés qui
soient...
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